Pourquoi j’ai besoin de tout tenir ?
Quand tout repose sur nous, on finit par vouloir tout maîtriser : les plannings, les humeurs, les silences dans les réunions.
On porte les autres, on absorbe… et on s’épuise.
Nous accompagnons ce moment où le contrôle devient une prison.
Pas pour lâcher prise dans le vide, mais pour retrouver de la liberté dans l’action : choisir ses combats, redéfinir ses marges, tester d’autres manières de tenir.
